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16 février 2008

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Pour lire un peu plus :

- Prédation et prédateurs
- Analyse de Frédéric Lefebvre-Naré

5.0 étoiles sur 5 Prédation et reproduction économique et sociale , 15 avril 2008

Par Nadel

Quel lien peut on établir entre prédation et reproduction économique et sociale ? Si la prédation est légitime, est-ce que le prédateur va se substituer au producteur ou bien va-t-il le dévorer, le détruire ? S'il le remplace, le prédateur est un producteur supérieur, la sélection par la concurrence prouvera sa supériorité. C?est la dynamique normale de l'économie capitaliste, mais la vitesse et la puissance des acteurs financiers aujourd'hui donne aujourd'hui un modèle destruction non créatrice. Si l'industrie s'est élevée sur la prédation ou l'exploitation du travail concret, le capitalisme prédateur d'aujourd'hui est menaçant par sa propension à piller le travail abstrait, la connaissance et les savoirs qui appartiennent à l'humanité - voir par exemple le débat sur les droits de propriété intellectuels - pour transformer cette valeur en rente et inflation financière.

5.0 étoiles sur 5 Le monde tel qu'il est devenu, 3 mars 2008

Par Frédéric Lefebvre-Naré

Michel Volle est l'un des "lapins blancs" qui nous font passer à pied, comme en rêve, du monde que nous vivons à sa représentation.

Dans l'économie nouvelle, "économie du risque maximum" expliquait déjà Michel Volle dans "e-conomie" (2000), les monopoles sont endogènes. La rentabilité s'obtient en capturant une part de marché, donc au besoin en "achetant les acheteurs". Les seigneurs de la guerre de l'ultra-capitalisme sont dans une situation stratégique comparable, non à celle des ingénieurs-entrepreneurs fordistes, mais à celle des féodaux du Moyen-Âge.

Choisir la civilisation contre la barbarie demande, comme au Moyen-Âge, de "réduire la rentabilité de la prédation".

Une vision qui me semble essentielle - à l'heure où se multiplient les "scandales" dans le grand patronat, il faut comprendre qu'ils ne sont plus accidentels mais sont devenus le sujet du combat démocratique.

5.0 étoiles sur 5Une lecture indispensable, 3 février 2008
Par Francis

Ce livre est incontournable. Nous entrons dans une nouvelle ère économique dont nous avons du mal à discerner les mécanismes structurels. Miche Volle tente une première approche avec une série de propositions argumentées. Ces propositions ouvre un champ de réflexion et appellent des travaux complémentaires.

Michel Volle rappelle l'importance des règles communes qui conditionnent la prospérité et l'utilité sociale de l'économie libérale. La question qui est posée me semble être la nécessité d'un nouveau paradigme économique qui tienne compte des nouvelles formes de transgression des règles communes. Par exemple, les systèmes informatiques facilitent les transgressions, en permettant la suspension du contrôle humain. Deux cas récents : Organismes de compensation et Société Générale.
Comment introduire une gouvernance du système d'information qui préserve les intérêts de l'ensemble des acteurs économiques ?

4.0 étoiles sur 5Approcher les prédateurs des temps modernes, 2 février 2008
Par Isabelle TA

Un livre qui ouvre ou ré-ouvre le débat sur cette question : peut-on résister à la tentation ? Comment naît le prédateur ? Comment devient-on prédateur ? Qu'est-ce que la prédation aujourd'hui ?

Michel Volle nous invite une fois encore à réfléchir autour des questions d'actualité;prendre du temps pour passer du temps à réfléchir et ne pas se contenter de reprendre à son compte des mots jetés ça et là dans des articles qui survolent des faits d'actualité.
A lire et à partager.

5.0 étoiles sur 5Face à la nouvelle économie, choisir ses valeurs, 3 février 2008
Par Laurent Bloch

Dans ce nouveau livre Michel Volle poursuit son exploration de la révolution économique déclenchée par l'informatique. Il explique que les phénomènes de prédation qui apparaissent dans la nouvelle économie (corruption, rétrocommissions, caisses noires, blanchiment, manipulations des comptes et des médias, délits d’initié) ne sont pas des épiphénomènes, mais résultent de ses caractéristiques les plus fondamentales ; moyennant quoi « aucun mécanisme n’est fatal pour peu qu’il ait été compris car alors on peut faire jouer d’autres mécanismes qui le compenseront. C’est pourquoi il est si nécessaire, aujourd’hui, d’élucider la prédation. »

Une lumière très utile sur des événements qui nous concernent tous.